J’ai eu l’immense privilège de recevoir, il y a quelques jours, le 1er tome de cette nouvelle série dont on a pas mal entendu parler récemment sur les réseaux sociaux, surtout le 3 mars dernier. En effet, Kazé a ce jour-là organisé une soirée de lancement pour promouvoir la sortie de Chainsaw Man, le nouveau manga décalé, totalement barré même, de Tatsuki Fujimoto (aussi connu pour Fire Punch). Sur ce, laissez-moi livrer mon avis sur ce fameux 1er tome de Chainsaw Man.
Résumé de l’éditeur :
Pour rembourser ses dettes, Denji, jeune homme dans la dèche la plus totale, est exploité en tant que Devil Hunter avec son chien-démon-tronçonneuse, “Pochita”. Mais suite à une cruelle trahison, il voit enfin une possibilité de se tirer des bas-fonds où il croupit ! Devenu surpuissant après sa fusion avec Pochita, Denji est recruté par une organisation et part à la chasse aux démons…
Me concernant, avant la réception de ce 1er tome, j’avais déjà lu le 1er chapitre et je dois bien avouer que j’avais plutôt bien accroché. On nous plonge assez vite dans l’histoire aux côté de Denji et de son chien-démon-tronçonneuse nommé Pochita. Oui c’est bizarre comme animal de compagnie, mais à titre personnel disons que je le trouve plutôt original. On va donc suivre le « quotidien » de Denji qui est ce qu’on appelle un « Devil Hunter » et qui se retrouve à devoir payer les dettes de son paternel. On apprend que Denji est le genre de gars qui ne se plaint jamais, il fait son job et basta… On découvre aussi comment le jeune garçon en est arrivé là où il est aujourd’hui et sa relation avec Pochita avant d’arriver à ce moment où sa vie va basculer…
Il fut un temps où Pochita reçu l’aide de Denji puis c’est Pochita qui lui est venu en aide. Dès lors, Denji et Pochita pourront ne former qu’un l’espace d’un instant et contrairement à un démon traditionnel, Denji parviendra à reprendre sa forme humaine. Et c’est suite à un grand massacre, après s’être fait entuber, que le jeune garçon se fera recruter par le gouvernement. Sa nouvelle mission : chasser les démons ! Mais pas que...
Il fut un temps où Pochita reçu l’aide de Denji puis c’est Pochita qui lui est venu en aide. Dès lors, Denji et Pochita pourront ne former qu’un l’espace d’un instant et contrairement à un démon traditionnel, Denji parviendra à reprendre sa forme humaine. Et c’est suite à un grand massacre, après s’être fait entuber, que le jeune garçon se fera recruter par le gouvernement. Sa nouvelle mission : chasser les démons ! Mais pas que...
On nous partage la complicité qu’entretiennent ce duo (Denji et Pochita) et je dois dire que la surprise fut des plus totales quand j’ai découvert leur transformation et la scène qui en découle. Si vous connaissait l’auteur, vous devez savoir qu’il a un côté un peu déjanté, excentrique, dans ce qu’il a dessiné avec Fire Punch et Chainsaw Man n’échappe pas à cette règle. Oh non ! On écope alors d’un certaine part de violence et l’auteur se fait plaisir graphiquement. Il faut dire que c’est dans les moments les plus fous que ses coups de crayons sont le plus « travaillés ». J'entends par là que tout n’est pas toujours régulier. Par moments, ses traits sont on ne peut plus simples et des vignettes vides de décors. D’un point de vue graphique, on qualifiera ce 1er tome d’irrégulier certes, mais l’intérêt est ailleurs selon moi. En effet, ce qui m’a davantage interpellé se situe au niveau de l‘histoire et bien qu’on en découvre les bases, le principal est ici mis en avant pour que j’en sois intrigué.
Le jeune Denji vit désormais une toute autre vie et jouit de certains plaisir qu’il ne connaissait pas. Il fait aussi de bien belles rencontres et on lui découvre une certaine attirance pour… les seins ! Mais on ne s’attardera pas sur ce sujet, aussi bien dans cet article que dans ce tome. Par contre, je peux vous rappeler qu’il émane une certaine violence de ce tome et que Tatsuki Fujimoto s’en donne ici à cœur joie. Les combats ne manquent pas de punch, l’action et ici bien présente au travers de brefs combats mais ces derniers sont intenses. Jusqu’à ce que le tome prenne fin sur une scène qui promet du lourd dès le début du second tome.
Le jeune Denji vit désormais une toute autre vie et jouit de certains plaisir qu’il ne connaissait pas. Il fait aussi de bien belles rencontres et on lui découvre une certaine attirance pour… les seins ! Mais on ne s’attardera pas sur ce sujet, aussi bien dans cet article que dans ce tome. Par contre, je peux vous rappeler qu’il émane une certaine violence de ce tome et que Tatsuki Fujimoto s’en donne ici à cœur joie. Les combats ne manquent pas de punch, l’action et ici bien présente au travers de brefs combats mais ces derniers sont intenses. Jusqu’à ce que le tome prenne fin sur une scène qui promet du lourd dès le début du second tome.
Ce 1er tome de Chainsaw Man est une bonne mise en bouche où l’auteur nous propose un scénario original, que je qualifierai même d’hors du commun. Par contre, les dessins ne plairont pas forcément à tous et c’est normal, ils restent particuliers. Néanmoins, la découverte vaut le détour, tant l’intrigue a de bonnes choses à proposer accompagnée également d'une petite dose d'humour par-ci par-là ou encore un peu de trash.
Sur ce, je remercie encore grandement Anita, Matthieu et aux éditions Kazé qui m’ont fait parvenir ce 1er tome accompagné d’un dossier de presse et d’un t-shirt à l’effigie de notre héros en mode tronçonneuse !
GeeKritique de Samy Joe
Chainsaw Man Tome 1
de Tatsuki Fujimoto
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